Compostellement vôtre

La cathédrale de Porto est le point de départ du Caminho Português Da Costa. © Timothée Gimenez

Olga, pèlerine allemande à notre micro. © Timothée Gimenez

Les pèlerin·es font quelques photos avant le grand départ. © Timothée Gimenez

Le chemin traverse la ville de Porto. © Timothée Gimenez

La ville de Porto est reconnue pour son street art. © Timothée Gimenez

Cette partie de la première étape du chemin consiste à rejoindre les rives du Douro. © Timothée Gimenez

Roberto et son épouse viennent tout droit d'Équateur. © Timothée Gimenez

La coquille est bien accrochée à tous les sacs, façon pour les pèlerin·es de se reconnaître. © Timothée Gimenez

Monica, pèlerine venant de République tchèque. © Timothée Gimenez

Les monuments religieux se succèdent. © Timothée Gimenez

Le chemin continue le long de la mer. © Timothée Gimenez

Le Ponte da Arrábida. © Timothée Gimenez

Petit passage par la plage de Matosinhos, où les surfeur·ses domptent les vagues. © Timothée Gimenez

Sandra, Mira, Giuseppe et Maria Angela viennent d'achever le pèlerinage de Fatima. © Timothée Gimenez

Après des centaines de kilomètres de marche, plus qu'un jour pour arriver à destination pour ces ami·es italien·nes. © Timothée Gimenez

La coquille Saint-Jacques, symbole du pèlerinage. © Timothée Gimenez

John réalise une pause sur le chemin pour admirer l'océan. © Timothée Gimenez

Le long du chemin est balisé pour éviter de se perdre. © Timothée Gimenez

Sur la route, plusieurs maisons arborent la coquille. Ce sont des lieux d'accueil et d'entraide pour les pèlerin·es. © Timothée Gimenez

Alex et ses ami·es sont Russes. Ils et elles réalisent le chemin, en quête d'aventure. © Timothée Gimenez

Sur le chemin, il faut voyager léger. Calibrer les souvenirs que l'on souhaite rapporter devient une nécessité. © Timothée Gimenez

Daniel est en recherche de déconnexion, il vient d'Autriche pour découvrir le chemin. © Timothée Gimenez

Chaque jour, il faut que la crédencial soit tamponnée deux fois pour valider son étape. © Timothée Gimenez

Le chemin a été refait en 2017. © Timothée Gimenez

Même s'ils peuvent être démoralisants, des panneaux indiquent les kilomètres restant avant Santiago. © Timothée Gimenez

Après Lavra, des villages de pêcheurs suivent le front de mer. © Timothée Gimenez

Au travail, les pêcheurs observent les pèlerin·es. © Timothée Gimenez

Beaucoup de pèlerin·es marchent seul·es. Défi supplémentaire du chemin. ©Timothée Gimenez

Des panneaux sont installés le long du chemin, pour se rappeler le voyage déjà parcouru. © Timothée Gimenez

Dernière étape de la journée, le village de Labruge, près de Vila do Conde. © Timothée Gimenez

À Labruge aussi, les murs sont garnis d'azulejos. © Timothée Gimenez

À l'origine, tous·tes les pèlerin·es dormaient dans des auberges. © Timothée Gimenez

Maria, Allemande de 32 ans, vient d'achever sa première journée de marche. © Timothée Gimenez

Dans l'auberge, tout le monde est le ou la bienvenu·e, qu'importe la nationalité. © Timothée Gimenez

Les chambres peuvent accueillir plus de quinze pèlerin·es. © Timothée Gimenez

Après une journée de marche, les pèlerin·es se reposent. © Timothée Gimenez

Lila a 18 ans. Elle vient d'obtenir son diplôme et prend une année sabbatique. © Timothée Gimenez

En arrivant, les pélerin·es peuvent laver leur linge. © Timothée Gimenez

Anabella nous accueille dans son auberge. © Timothée Gimenez

À Labruge, la coquille est partout. © Timothée Gimenez

À cette période de l'année, l'auberge São Tiago est souvent pleine. ©Timothée Gimenez

Le jardin de l'auberge São Tiago. © Timothée Gimenez

Anabella est la propriétaire des lieux, elle s'occupe de l'accueil des pèlerin·es. © Timothée Gimenez

La fin de l'aventure pour quatre pèlerin·es... et nous. © Timothée Gimenez